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    Article de Synthèse – Les signes de l’idolâtrie dans l’Islam

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    Islam – Article de Synthèse – Les signes de l’idolâtrie dans l’Islam

    Quelle que soit la tentative des musulmans de se justifier, il est évident que l’islam contient des éléments d’idolâtrie. Il y a beaucoup de preuves.

    1. Cultes à la Ka’aba

    D’après les hadiths, la Ka’aba était le centre de l’adoration des idoles à La Mecque, avec environ 360 temples d’idoles différents :

    Rapporté par ‘Abdullah ibn Masud: Le prophète entra à La Mecque ,(et en ce temps) il y a avait trois cent soixante idoles autour de la Ka’aba. Il a commencé à s’attaquer aux idoles avec un bâton qu’il avait dans sa main et réciter: ” La Vérité (Islam) est venu et le Mensonge (mécréance) a disparu.” Sahih Bukhari 3:43:658

    Le prophète a éliminé les 360 idoles mais a préservé la Ka’aba et la Pierre Noire pour l’islam, arguant qu’elles avaient été érigées par Abraham et Ismaël. Cependant, il n’existe pas de preuves archéologiques attestant de l’existence de la Ka’aba plusieurs siècles avant la naissance de Mahomet. De plus, les déclarations de Mahomet lui-même contredisent toute association qu’il aurait souhaitée établir entre Abraham, Ismaël et la Ka’aba.

    Le Coran dit qu’Abraham l’a construite :

    [Et rappelle-toi], quand nous fîmes de la Maison un lieu de visite et un asile pour les gens – Adoptez donc pour lieu de prière, ce lieu où Abraham se tint debout – Et Nous confiâmes à Abraham et à Ismaël ceci : “Purifiez Ma Maison pour ceux qui tournent autour, y font retraite pieuse, s’y inclinent et s’y prosternent.Quran 2:125

    Selon Mahomet, sa construction a précédé celle du Temple de Jérusalem de 40 ans.

    Rapporté par Abu Dhar: J’ai dit, “Ô apôtre d’Allah! Quelle mosquée a été construite la première?” Il a répondu, “Al Masjid al-Haram.” J’ai demandé, “Quelle a été la suivante?” Il a répondu, “Al Masjid al-Aqsa (celle de Jerusalem).” J’ai demandé, “Quelle a été le temps d’intervalle entre ceux deux-là ?” Il a répondu, “quarante ans.”

    Sahih Bukhari 4:55:636

    Le Temple de Jérusalem, édifié par le roi Salomon, date d’environ 958 à 951 avant J-C. Selon les dires de Mahomet, la construction de la Ka’aba se situerait aux alentours de 998 à 991 avant J-C. Cependant, Abraham aurait vécu vers le XXe siècle avant J-C, ce qui implique qu’Abraham, ainsi qu’Ismaël, n’étaient plus de ce monde à cette époque.

    Dans l’hypothèse où les affirmations de Mahomet seraient exactes, cela remettrait en question la véracité du Coran et, par extension, celle d’Allah. Toutefois, si le Coran relate correctement le fait qu’Abraham et Ismaël sont les bâtisseurs de la Ka’aba, alors ce sont les propos de Mahomet et les hadiths sahihs qui seraient erronés.

    La Ka’aba n’est en effet pas liée à Abraham et Ismaël. Il s’agit d’un héritage totalement païen. Le Dr Taha Hussein, un professeur égyptien et principalement le modèle de la littérature arabe, a exprimé les paroles suivantes :

    Le cas de cette épisode est vraiment très évident parce que c’est une date récente qui est entré en vogue juste avant la montée de l’Islam. Islam l’a exploitée pour des raisons religieuses. (Voir Mizan al-Islam de Anwar al-Jundi, p. 170)

    De plus, d’après des hadiths sahihs, Mahomet avait même anticipé son démontage :

    Rapporté par Aswad: Ibn az-Zubayr m’a dit, “Aïcha avait l’habitude de te dire secrètement de nombreuses choses. Qu’est ce qu’elle t’a dit à propos de la Ka’aba?” J’ai dit, “Elle m’a dit que une fois que le prophète avait annoncé, ‘Ô ‘Aïsha! Si votre peuple n’était pas aussi proche de la période de l’ignorance (infidélité)! J’aurai démantelé la Ka’aba et aurai placé deux portes à l’intérieur : une pour l’entrée et l’autre pour la sortie” Plus tard Ibn az-Zubayr fit de même. Sahih Bukhari 1:3:128

    Les premières pratiques du paganisme, telles que le culte de la Ka’aba et le baiser sur la Pierre Noire, ont été adoptées au VIIe siècle et introduites dans la religion monothéiste de l’Islam.

    2. Vénération de la Pierre Noire

    Dans la péninsule arabique avant l’avènement de l’Islam, les divinités païennes étaient souvent honorées à travers des objets naturels, tels que des roches ou des pierres de forme rectangulaire. ‘Al-Lat’, une telle divinité mentionnée au verset 53:19 du Coran, était perçue par les païens comme étant la progéniture d’Allah. Cette divinité était célébrée à Ta’if, en Arabie Saoudite, où un rocher cubique lui servait de représentation. Pour souligner l’importance de ce site sacré, un monument avait été érigé autour de la pierre sacrée.

    Al-lat se tint à al-Ta’if, et était ultérieure à Manah. Elle était un rocher cubique à côté duquel certains Juifs avaient l’habitude de préparer une bouillie d’orge (sawiq). C’était ‘Attab ibn-Malik de Thayif qui était chargé de la surveiller, et c’était lui qui avait construit un édifice sur et pour elle. […]Elle est l’idole que Dieu mentionne quand Il dit : “Avez-vous vu Al-lat et al-ʿUzzā (Sourate 53:19)?

     

    (Ref : Le livre des idoles, p 14; (traduit par Kitab Al-Asnam) de Hisham Ibn-Al-Kalbi, 819 CE, traduction par Nabih Amin Faris (passage retranscrit en français), 1952)

    Un principal objet vénéré était la pierre, il y avait aussi les affleurements ou les gros rochers, souvent rectangulaires ou de formes irrégulières, d’origines basaltique et de couleur noir… comptant aussi de nombreux bétyles, le plus connu étant la Pierre-noire de la Ka’aba à La Mecque qui est devenu l’objet sacré sanctuarisée le plus connu“. Encyclopedia Britannica (Ref : Encyclopedia Britannica – Arabian Religions, p1059, 1979).
    Il est un fait établi que la Pierre Noire comptait parmi les pierres et idoles sacrées honorées à la Ka’aba par les adorateurs païens avant l’avènement de l’Islam. Cette même Pierre Noire était traditionnellement embrassée lors des rituels de prière de ces païens. Bien que le prophète Mahomet ait écarté 360 autres objets cultuels présents dans la Ka’aba, il a préservé la Pierre Noire, maintenant ainsi la coutume de lui donner un baiser. Aujourd’hui, c’est cette pierre, autrefois vénérée par les païens, que les musulmans continuent d’embrasser durant leur pèlerinage à La Mecque.

    3. Prier cinq fois vers la Mecque

    Avant l’avènement de l’Islam, les païens pratiquaient déjà la prière quinquéjournalière en se tournant vers La Mecque. Cette tradition a été intégrée dans l’Islam par le prophète Mohammed, comme le relate un hadith décrivant son ascension céleste sur la créature mythique Al-Buraq. Durant cet événement, il est dit qu’Allah a initialement prescrit 50 prières quotidiennes aux musulmans. Toutefois, après une négociation avec Moïse, Mohammed a réussi à diminuer cette injonction à cinq prières par jour.

    Les adeptes du zoroastrisme sont aussi tenus de réciter leurs prières, connues sous le nom de kusti, cinq fois par jour, après avoir accompli des ablutions purificatrices. Ainsi, la récitation de prières multiples au cours de la journée n’est pas exclusivement islamique. Néanmoins, à la différence des musulmans, les zoroastriens se tournent vers le Soleil ou le Feu Sacré lors de leurs prières, que ce soit à tout moment de la journée ou dans leur Temple du feu.

    4. Jeûner le 10 du Mouharram

    Les Quraychites, tribu païenne à laquelle appartenait Mahomet, observaient le jeûne le dixième jour du mois de Mouharram. Mahomet aurait également maintenu cette coutume, bien qu’elle ne soit pas obligatoire.

    Rapporté par ‘Aisha: ‘Ashura’ (c.-à-d le dixième de Mouharram) était un jour où les Quraychites avaient comme tradition de jeûner durant la période pré-islamique de l’ignorance. Le prophète suivait aussi cette tradition. Donc, quand il a immigré vers La Mecque, il jeûnait ce jour et a ordonné (aux Musulmans) de jeûner ce jour. Quand le jeune du Ramadan a été établi, il est devenu optionnel de jeûner le jour de Ashura. Sahih Bukhari 5:58:172

    5. Tawaf entre Safâ and Marwah

    La pratique de la circumambulation entre les collines de Safä et Marwah est un rite islamique qui fait partie intégrante du pèlerinage à La Mecque. Ces deux collines, situées dans la ville sainte, sont le théâtre d’une procession rapide que les pèlerins accomplissent sept fois. Ce rite trouve son origine dans une coutume préislamique, qui a été intégrée à l’Islam par le prophète Mahomet suite à une révélation coranique ultérieure.

    Note : As Safa et Al Marwah sont vraiment parmi les lieux sacrés d’Allah. Donc, quiconque fait pèlerinage à la Maison ou fait l’Umra ne commet pas de péché en faisant le va-et-vient entre ces deux monts. Et quiconque fait de son propre gré une bonne oeuvre, alors Allah est Reconnaissant, Omniscient.Quran 2:158

    Narrated ‘Asim: “Âsim rapporte qu’il adressa à Anas ibn Mâlik la question suivante : “Aviez-vous de la répugnance à faire la course entre Es Safa et El Merwa ? – Oui, répondit-il, parce que c’était une coutume du temps du paganisme, et cela dura jusqu’au moment où Dieu révéla ces mots : “Certes, Es Safa et El Merwa sont parmi les rites prescrits par Dieu. Quiconque fait le pèlerinage au temple sacré ou la visite pieuse ne saurait faire mal en processionnant entre ces deux localités (sourate II, verset 153)” ” (2.158) Sahih Bukhari 2:26:710

    Cette cérémonie païenne de la « période d’ignorance » pré-islamique a été adoptée par Mahomet, et il l’a justifiée par une autre révélation coranique convenue.

    Autour du personnage d’Agar, qui courait entre ces deux monts pour trouver de l’eau, a également été créé un mythe, jusqu’à ce qu’elle découvre de l’eau de Zamzam. Bien que cette histoire soit véridique, quelle était la motivation de ces musulmans à se déplacer entre les deux monts afin de satisfaire un dieu? Toutefois, ce mythe n’a pas été créé pour renforcer la légitimité du rituel, mais pour une autre raison : Mahomet tentait de commercialiser du Zamzam, propriété de sa famille, comme une entreprise financière.

    6. Exigence de l’Ihram

    L’ihram désigne l’état de sacralité dans lequel entre un musulman lorsqu’il entreprend le pèlerinage à La Mecque. Cet état s’accompagne de diverses procédures, telles que des rituels de purification et le port d’un vêtement spécifique nommé “Ihram”. Historiquement, l’ihram était une pratique liée aux rites païens préislamiques, qui impliquaient le culte d’idoles. Cependant, le prophète Mahomet a intégré cette tradition dans les pratiques de l’Islam. Ainsi, pour accomplir le Hajj ou la Oumra, les pèlerins musulmans doivent observer l’ihram.

    Rapporté par ‘Urwa: J’ai demandé à ‘Aisha : …Mais en réalité, cette inspiration divine a été descendue concernant les Ansâr qui avaient l’habitude de réaliser l’“Ihram” pour adorer une idole appelée “Manat” qu’ils avaient l’habitude d’adorer dan une place appelée Al-Mushallal avant qu’ils n’embrassent l’Islam, et quiconque réalise l’Ihram (pour les idoles), n’est pas considéré comme pur pour faire le Tawaf entre Safa et Marwa.

    Sahih Bukhari 2:26:706

    7. Les sept circumambulations

    La circumambulation est un rituel qui implique de marcher en cercle autour d’un objet sacré. C’est une pratique courante dans l’Islam où les fidèles et les pèlerins effectuent ce rituel autour de la Ka’aba à La Mecque. Avant l’ère islamique, les païens pratiquaient également la circumambulation pour honorer le dieu lunaire Hubal, ainsi que les 360 divinités et Allah, qui était alors une des nombreuses divinités vénérées. Le prophète Mahomet a lui-même participé à ce rituel avant que les idoles situées à l’intérieur de la Ka’aba ne soient éliminées.

    Contrairement à l’Islam, le Judaïsme et le Christianisme, souvent désignés dans l’Islam comme les “gens du Livre”, n’adoptent pas la circumambulation comme moyen de vénération divine. L’Hindouisme et le Bouddhisme, deux religions plus anciennes que l’Islam et parfois qualifiées par celui-ci de pratiques païennes et idolâtres, intègrent également la circumambulation dans leurs rituels.

    Remarque : Au cours du Tawaf, un rite islamique, les fidèles musulmans accomplissent sept circumambulations autour de la Ka’aba. De manière similaire, dans la cérémonie de mariage hindoue connue sous le nom de Satphere, le couple nouvellement marié effectue également sept tours autour d’un feu sacré. Lors de ces deux cérémonies, des prières spécifiques sont énoncées tout au long de la procession circulaire.

    8. Le symbole du croissant de lune

    Hubal, vénéré dans l’enceinte de la Ka’aba, était considéré comme le dieu de la lune. Le croissant lunaire servait d’emblème à cette divinité. Abd al-Muttalib, le grand-père de Mahomet qui pratiquait le paganisme, a presque procédé au sacrifice de son fils Abdhallah, le père de Mahomet, en l’honneur de Hubal, selon les écrits d’Ibn Hisham.

    Une flèche a montré que c’était ‘Abdullah qui devait être sacrifié. Alors ‘Abdul Muttalib emporta le garçon pour la Ka’aba avec un rasoir pour le sacrifier. Les quraychites, ses oncles de la tribu de Mahkzum et son frère Abu Talib ont cependant essayé de le dissuader. Ils lui ont suggéré de faire appel à une voyante. Elle a ordonné que les flèches de divination devaient être tirés entre ‘Abdullah ainsi que dix chameaux. La quantité de chameaux a finalement atteint la centaine. Ils ont alors tous été sacrifiés pour la satisfaction de Hubal. (Ref : ibn Hisham 1/151-155; Rahmat-ul-lil’alameen 2/89,90)

    La Ka’aba, le plus grand sanctuaire de l’Islam, a été le lieu où de tels sacrifices humains ont été accomplis pour Hubal. Lorsque Mahomet a introduit l’Islam, il a dénigré Hubal. Lors de la bataille de Badr, son adversaire Abu Sufyan a demandé à Hubal, le dieu de la lune, de se transcender, en disant : “Ô Hubal, soit grand”. Par la suite, Mahomet a demandé à ses partisans de crier en réponse : “Allah est le plus grand.” cf note.

    Note : Après cela, il commença à réciter joyeusement “Ô Hubal, le grand ! (1)”, sur ce le prophète dit à ses compagnons “Pourquoi ne lui répondez-vous pas en retour”, ils ont dit “Ô apôtre d’Allah, que devons-nous dire ? “, il dit, “Dites : Allah est Plus Grand et Plus Sublime encore.”…” – (Sahih Bukhari 4:52:276)

    Le dieu de la lune Hubal n’est-il plus le « plus grand »? L’Islam est-il entièrement dépourvu de l’influence de la lune? Examinez de près les mosquées à travers le monde et vous pourrez observer le symbole de Hubal, le croissant de lune, placé à la plus haute hauteur de la mosquée. Le croissant de lune est un symbole universel de l’Islam, équivalent à la croix du Christianisme et à l’étoile de David du Judaïsme.

    Il est également envisageable que l’adoration de Hubal ait des répercussions sur l’Islam. Effectivement, de manière étrange, la prière païenne de l’ennemi de Mahomet, Abu Sufyan, était intitulée “Ô Hubal, soit grand”.

    Gardez-vous des idoles.

    L’analyse des éléments précédents nous conduit à la conclusion qu’il est justifié de remettre en question l’islam.

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